Dans l’ensemble, les critères de décision les plus retenus n’ont guère varié par rapport à l’année précédente. La principale évolution concerne le critère de la durée aussi courte que possible du traitement et du séjour (82%, +6), qui est davantage cité. Un autre facteur l’est quasi tout autant: 83% (+1) des personnes interrogées estiment que les coûts à prendre en charge soi-même comptent dans le choix.
A la campagne (91%) et parmi les sympathisants de l’UDC (90%), la durée est plus importante que la moyenne. Elle l’est moins que la moyenne pour les Tessinois (53%) et les personnes sans attache partisane (67%). Les coûts à prendre en charge soi-même sont considérés à l’aune de la situation financière individuelle: les sondés qui gagnent plus de 9'000 ne sont que 74% à juger ce facteur important, alors que ceux qui gagnent moins de 3'000 sont 97%.
Disposer d’une chambre conviviale (70%, −5) est l’élément qui compte le moins. Les personnes de 70 ans et plus (79%), celles qui ont une formation élevée (79%) ou se situent à gauche politiquement (81%) considèrent davantage que la moyenne ce critère comme important. Les Suisses romands y tiennent particulièrement (92%), nettement plus que les Tessinois (51%).